Cette composition chinoise représente le quartier des femmes dans un palais, où les arbres verts et les lotus en fleur indiquent que la scène se déroule en été. Sur la terrasse, des femmes tirent l’aiguille ou observent le ciel, une allusion à la fête annuelle qui célèbre la nuit où se rejoignent le berger et la tisserande, des amoureux légendaires immortalisés en tant que constellations.
Fabriquée en Egypte, cette stèle en marbre est sculptée des deux côtés. Le premier présente un verset du Coran caractéristique de la période Fatimide. Deux siècles plus tard, la pierre fut à nouveau réutilisée pour marquer l’emplacement d’une tombe. Le dessin d’une arche sur colonnes ornées de rosettes, avec une lampe suspendue au centre, fut gravé sur le second côté.
Fabriqué durant la seconde moitié du Xe siècle, cet ensemble est composé de sept éléments séparés en bronze. La scène représente le Bouddha, au centre, en train d’enseigner le dharma. Il est entouré d’Avalokiteshvara à gauche et de Vajrapani à droite. Le lion devant fait allusion au nom du clan dont est issu le Bouddha.
Sculpté en Egypte, ce fragment d’ivoire dépeint l’ascension du Christ soutenu par des anges. Cette image que l’on retrouve à maintes reprises laisse à penser que les graveurs ont produit cette scène en série pour répondre à la demande.
Fabriqué en Iran, ce bol en terre cuite porte une décoration soignée. Sur un fond jaune semé de fleurs, un homme tient un rhyton sous l’œil de deux oiseaux à huppes. Ce genre de scène semble plutôt commun à cette époque.
Découvertes en Iran, ces perles en cornaline ont été réenfilées sur un cordon. Elles appartenaient certainement à un chapelet qui, dans l’usage islamique, doit contenir 33 ou 99 perles.
A suivre...
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