Rajakangas :
En Finlande, l’on trouve des structures de pierre néolithiques que l’on nomme « Eglise de géant ». D’une longueur de 12 à 60 m, elles n’excédaient pas 2 m de hauteur. L’on ignore leur fonction. L’on a proposé des habitations, des lieux de sépulture, des temples, des forteresses, voire des entrepôts frigorifiques pour la viande.
Appenthal :
Près de Guebwiller (Alsace), le vallon de l’Appenthal renferme un monument mégalithique qui n’a jamais été fouillé. En longeant un mur cyclopéen, l’on aboutit à un alignement de trente-six petits menhirs disposés en quatre rangées formant deux « V » imbriqués. L’une des branches est alignée sur le lever du soleil au solstice d’hiver, alors que l’autre fait face au coucher du soleil à la même période.
Epoigny :
Dressés sur la ligne de partage des eaux de la Saône et de la Loire, les menhirs d’Epoigny sur la commune de Couches (Saône-et-Loire) forment le plus important ensemble mégalithique de Bourgogne. Quatre d’entre eux ont été relevés en 1984 et 1990. L’on ne distingue plus guère les gravures qu’ils portaient. Le site aurait été fréquenté jusqu’à l’époque des Gaulois qui l’auraient consacré à Epona.
Le Champ des Roches :
Situé à Pleslin-Trigavou (Côtes d’Armor), l’alignement du Champ des Roches est également appelé Cimetière des Druides. Il est constitué de 65 menhirs, mais à cent mètres, l’on en a retrouvé quatre autres qui pourraient en faire partie. Selon la légende, ces pierres ont été abandonnées par les fées qui construisaient le Mont St Michel.
Lagatjar :
Les alignements de Lagatjar sur la commune de Camaret-sur-Mer (Finistère) sont contemporains de ceux de Carnac. Il n’y en a plus que 65 alors qu’à l’origine ils étaient au moins 600. Leur orientation est/ouest laisse présumer un caractère astronomique.
A suivre...
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